Battlefield world

Je n'avais jamais chassé de deviljhos, mais dans la situation désespérée à laquelle était confronté le village, je ne pouvais laisser les habitant fuir leurs maisons sans les aider. Nous avions suivit la conversation à l'ombre d'une case, mais arrivé à la conclusion du débat -la fuite- je suis sorti de ma cachette, bientôt suivi d'Alice, et je lançais à voix haute : “Nous viendrons !!” sans même avoir consulté mon amie. Alice me le fit rapidement remarquer en me disant : “T'es fou ou quoi ? Tu sais au moins dans quoi tu nous lance ?!”
Je l'avais ignoré et avais répondu au vieil homme -le chef du village-. Après l'état d'ébéitude de la foule, comme je m'en doutais, un déluge de question s'abatait sur nous. Les “Qui êtes-vou?” les “D'où venez-vous” et les “Pourquoi êtes-vous là” fusaient dans tous les sens tandis qu'un brouhaha d'interrogations écrasait la place du village. J'allais lever la mains et demander aux villageois de se calmer, que je répondrais aux questions une par une quand je vis le chef du village faire un signe au chasseur, aussitôt, l'homme grand leva sa lance et hurla :
“ -Silence ! Vous voyez bien que cet homme ne peut répondre à toutes ces questions en même temps. Notre chef posera toutes vos questions pour éviter le vacarme.
Le chef se leva et me demanda :
-Très bien ! Qui est-tu ? Enlevez vos heaume que je vois vos visages.
Nous nous executâmes et je répondis :
-Je suis chasseur, avec mon amie, nous avons tué le diablos qui vous dévorait vos troupeaux.
-Loué soyez-vous, que venez-vous faire ici ? Vous n'étes pas du coin.
Je remarquais alors que la curieuse assemblé qui nous fesait face était noire de peau.
-Le drakkar qui devait nous ramener chez nous est parti depuis longtemps, nous avions fixé avec l'équipage que si nous ne revenions pas avant trois jours, ils devaient partir car nous serions certainement morts, deux de nos compagnons ont été tués, or nous avons réussi en six jours, le drakkar est donc partit.

À la pensé de mes deux amis, inconsciemment, je levais ma mains droite vers mon visage et fis un signe de salut. Le chef du village sembla sentir ma peine et dit :
-Désolé... Vous savez la chasse au wyverne est un jeu dangereux, beaucoups y perdent... Le chef continua reprenant son ton abituel, Comment vous-appelez vous ?
-Je m'appelle Jules Harker.
-Et votre amie ?
Alice ne répondit pas, la légère brise venant du sud fesait onduler ses cheveux blonds. Ses yeux bleus courraient à travers la savane. Ses sourcils fins étaient froncés, tout son corps était immobile. Mon amie était vraiment magnifique, les quelques griffures qui lui barraient le visage lui donnaient un air farouche, indomptable. J'arrêtais immédiatement de la regarder, c'était indigne de moi, j'avais déjà une femme et je n'était pas infidéle. Le chef insista. Cette fois, Alice sortit de sa chasse silencieuse, elle se pencha vers moi et me glissa tout bas :
-Quelque chose ne va pas... Elle répondit au chef, Pardonnez-moi, j'étais perdue dans mes pensées. Je suis Alice, originaire de Vanghisse, une ville de la toundra.
-Je vois... Une bien belle ville.
-Vous y étes déjà allé ?!
-Oui quand j'étais jeune, j'y chassais le barioth. Mais je n'y suis pas résté bien longtemps, il y fait trop froid !
Le chasseur les arrêta :
-Excusez-moi chef, que fait-on pour les deviljhos ? Vous allez nous aider ?
Les habitants me fixaient tous, ils attendaient une réponse. Je répondis :
-Oui, nous vous aiderons. Si j'ais bien entendu, ils seront ici vers midi et à en voir le soleil, il sera bientôt midi.”
Comme pour confirmer ce que je venais de dire, un terrible hurlement se fit entendre. Il était assez ténu, la foule se tut, puis un bruit de pas lourds résonna. Le dénomé Keydan accouru et anonça au chasseur qui répéta à la foule :
“Les jhos sont à une demi lieue d'ici, ils courent et seront là dans quelques minutes ! ”

Ce fut la panique à bors, en une seconde les villageois se mirent à courrir dans tous les sens. Le chef essaya en vain de les calmer. Le chasseur nous fit signe de venir, nous obéîmes. Il était noir, très grand -son armure emplifiant encore sa carrure-, sur son visage courraient de multiples cicatrices dont une particulièrement impressionante, partait du front et tombait jusqu'à sa joue droite, son regard, vert et inquisiteur se prmenait sur tout ce qui bougeait. Il devait être dans la force de l'age, une trentaine d'années au plus. Il nous invita à nous assoir autour d'une table, deux félyne était déjà présents, l'un était blanc, portait sur son dos un énorme sac ainsi qu'un tube de métal, il avait un gros -pour sa taile- fusilarbalète dans les mains et de multiples grapes de munitions lui recouvraient le torse comme un plastron. L'autre félyne était encapuchoné dans une étrange cape. Le chasseur prit un bout de charbon et dessina un wyverne sur la table, il entoura la tête et le torse du dessin puis nous dit :
-Voilà grocièrment un déviljho, frappez uniquement sa tête et son ventre.
Ils aquiécèrent.
-Il y a trois jhos, il faut les séparer, sinon il sera très difficile de les vaincre, Shamy et Thug vous en attaquerez un et vous l'isolerez, Jules et Alice, vous en affronterez un autre, j'éloignerai le dernier. Une fois votre jho tué, vous aiderez un autre groupe, Il montra l'armure défoncée d'Alice, il te faut une autre armure celle-ci ne tiendra pas dix minutes. Je vais t'en chercher une autre.
-Je crois qu'y a pas le temps. Nya !”
Thug montra la savane, trois grosses silouettes étaient visibles, elles grossissaient à vu d'œil. Deux étaient noire, une était verdâtre.
“ -Vite, faut y aller sinon y seront trop près du village et y risqueront de s'attaquer aux villageois ! Nya !”
À ces mots, les cinq chasseurs s'élancèrent au pas de course à la rencontre des monstres.

Le jho verdâtre avait prit la tête du convoi, les deux autres sur ses talon. Les secousses produites à chacuns de leurs pas les rendaient encore plus terrifiants. Du cotès des chasseurs, Shakiami était parti comme une flèche il atteingnit les jhos plusieurs dizaines secondes avant ses compagnons, Thug n'était pas loin derrière. Il choisit sa victime, il attaquerais le jho de droite. Il accéléra encore, les monstes étaient colossales, il fesait la taille de leurs pieds. Il passa en trombe devant le premier et sauta à la gorge de sa victime, il dégaina ses lames et laboura de coups la traché du monstre. Aucun des coups ne percèrent le cuir épait qui recouvrait le monstre pire encore, le jho secoua brutalement la tête et fit tomber le petit mélyne. Le deviljho ralentit sa course, fit demi tour et s'avança vers Shakiami. Les autres jhos continuaient leur course. Shakiami fixa la tête du monstre pour y trouver une faille... ...les yeux ! Il s'acroupit et attendit, il plenterai ses deux lames dans les yeux du jho dés que le monstre baissera sa garde. Le monstre s'arrêta à un mètre du mélyne, il baissa sa tête pour sentir sa proie "Maintenant !" Shakiami allait planter ses épées dans les yeux du jho, mais celui-ci retira rapidement sa tête et écrasa le mélyne d'une pate. Comme Shakiami l'espérais, la pate ne le broya pas, sa cape se solidifia sous la pression. Shakiami était quand même immobilisé, il se débatit furieusement, en vain...
Le monstre baissa de nouveau la tête vers le mélyne. Shakiami sentais l'halène putride du monstre, il retint sa repiration. Le monstre le regardait étrangement, comme si il voulait lui dire “Merci, je me suis bien amusé, j'espère que tu as bon gout” .
Non, il ne pouvait pas finir comme ça, tué si jeune, impossible. Il reprit sa respiration et vomi, le jho paraissait étonné “Pourquoi tu recrache ce que tu as mangé ? moi je ne fait jamais ça. ”.
Le deviljho patienta encore quelques secondes “Pourquoi tu tremble, tu as peur ?”

Les secondes lui parrurent interminables, le monstre ouvrit les machoire et baissa rapidement la tête
"Non !!!" Shakiami ferma les yeux. Il entendit un petit ricanement, une pétarade... ...Thug ! Il rouvrit les yeux pour voir le monstre tomber sur le coté, le libérant. Thug portait son mitrarbalète et arosait gaiment le wyverne géant de munitions tranchantes. Le deviljho allait se relever, le sang de Shakiami ne fit qu'un tour, il s'élança vers sa patte d'apuis, chercha un tendon puis enfonça ses lames paralysantes dans la jambe puis tira d'un coup sec, le tandon fut secioné en sans dificulté, le monstre retomba au sol, le mélyne s'éloigna du monstre une seconde avant que Thug ne presse la gachette.

Un déluge d'acier s'abatit sur le monstre, en quelques secondes le flan du monstre était percé d'une centaine de trous sanguinolants. Le jho essayait de nouveau de se lever, Thug continuait de tirer. Le monstre était debout, au lieu de charger, il essaya de fuir, boîtant sur sa patte meurtrie.
“ -Merde ! Nya ! J'ai plus de balles !
-Vite recharge, je ne pourrais pas lui abîmer la dernière patte sans qu'il m'attaque ! Mya !
-Je veux bien ! Nya ! Mais ça mets deux heures !
-Alors utilise ton bazookamachin, vite, Mya !
-Peut pas, il est tombé de mon dos quand je te courrait après ! Nya !
-Alors recharge ! Vite ! Mya !
-Trop tard, il est hors porté maintenant le jho !Nya !”
Pendant qu'il discutaient, le jho avait prit la poudre d'escampette, il était déjà loin.
“ -Tant pis, on va aider les autres, mya !
-Allons-y ! Nya !”
Ils courraient comme des dératés en direction du deuxième jho noir. Il était à quelques centaines de mettres, les humains només Jules et Alice le combattaient. Il allait voir ce que valaient les hommes contre des grands wyvernes...

“J'éspère que le chasseur et les félynes vaicront leurs jho” Furent les dernières paroles d'Alice avant que nous engagions le combat. Je n'avais jamais vu de deviljho auparavant, je pensais, selon le nom de la race, que le monstre serait semblable au diablos. Je me trompais ! Le deviljho qui nous fesait face mesurait largement deux mètres cinquante au garrot, de haut en bas au moins quatres ou cinq mètres et pas moins de quinze mètres de long. Le mastodonte pesait selon mon estimation quelques cinq ou six tonnes et dévoilais une masse musculaire fénoménale. Sa tête était petite comparée au reste du corps, le menton était hérissé d'une centaine de protubérences osseuses certainement coupantes, bref de poignards, une large bouche aux machoires surpuissantes, garnie de dent aiguisées comme des rasoirs était surplombée de deux cruels petits yeux noirs qui terminaient de donner un aspect démoniaque au monstre. De longues arrêtes de pointes tranchantes partaient de la tête et se rejoignaient au bout de la queue. La bête était recouverte d'une cuirasse de cuir noir, qui selon notre alié chasseur, était impénétable sauf au niveau de la tête et du ventre.
Nous ignorions quel type d'élément les jhos craignaient le plus, Alice se porta sur du classique et chargea une bande de vingt munitions de gros calibre. Quand à moi, je devrais me contenter de mon katana azur, dit coup de tonner. Nous nous arrêtâmes à une dizaine de pas du monstre, arme au poing, préts à nous battre. La bête poussa un hurlement rauque. Alice du se boucher les oreilles pour ne pas être assourdie, rien ne lui protégeait la tête comme elle avait abandonné son heaume au fond de la crevasse. Je levais mon sabre en défi, le monstre y répondit sans hésitation et s'élança vers moi sur ses pattes puissantes.

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Fini pour aujourd'hui.
N'hésitez pas à commenter.

La bête tenta un coup de croc, je l'esquivai sans problème, il se jeta sur moi l'épaule en avant, j'esquivai encore, il sauta dans ma direction et atterrit lourdement là où je me trouvais une demi seconde plus tôt. Alice tira une rafale sur la tête du jho, les balles se plantèrent dans son crâne. Il les ignora ! Une telle rafale aurait normalement grièvement blessé ou même tué la plus des wyvernes, le deviljho ne broncha pas. Il sauta en arrière, à cinq mètres de moi, il racla brutalement le sol envoyant un gros boulet de terre et de roche. Cette fois, la seconde de surprise due à l'étrange attaque du jho me fut fatale. Le boulet m'envoya voler à une dizaine de mètre. Mais pas de dégats majeurs. Le monstre leva sa tête et hurla, J'en profitai pour m'aprocher de lui par derrière. Arrivé derrière lui, je donnait un coup de sabre dans la queue, le coup ricocha ! J'avais coupé net le coup d'un diablos, recouvert d'écailles dures comme du roc ! De quoi était fait ce monstre ?! Il riposta en me donnant un violent coup de queue, je pus esquiver, je retournai valser dans le décors à une dizaine de mètres du monstre. Pendant ce temps, Alice pilonnait le jho sans parvenir à pénétrer son épaix cuir. Le jho ne me lessa pas le temps de me lever, il se rua sur moi en donnant de violants coups de tête puis de queue en avant. Je pu esquiver son menton hérissé de piques, mais pas sa queue, maudite queue ! Je valsai encore dans le décors. Cette fois le monstre resta immobile, sous pilonnage inscessant d'Alice qui en était à son deuxième chargeur, et me regardait. Je compris ce qu'il fesait, il me testait, il m'attaquait, puis regardait comment je réagissait, parfois il m'enchainait mais c'était encore pour voir comment était ma réaction. Ce comportement était typique des wyvernes ayant, par le passé, affronté de nombreux humains, au prix de nombreuses blessures et mutilation. J'inspectai donc rapidement le corps de jho à la recherche de cicatrice.

Il portait de nombreuses blessures, mais elles étaient insinifiante par rapport à la taille du monstre. Une seule cicatrice retint mon attention, elle partait du coin de la bouche et remontait presque jusqu'au front, en suivant la joue. Le monstre profita de ma concentration sur la cicatrice pour me charger extrèmement brutalement, il me donna un énorme coup de menton vers le haut. Il y eu un bruit d'acier brisé, des fragments azurs volèrent dans tous les sens, il avait explosé mon plastron ! Je décolai de dix mètres, le plus dur sera la chute. Le monstre poussa un gémissement rauque et s'éfondra au sol, en dessous de moi. Espéront qu'il soit moi dur que la terre racailleuse de la région. Je lui tombai sur la queue, je fus soulagé, elle était molle comme un matela ! Je sentit une terrible douleur à la poitrine, je m'étais empalé sur une de ses pointes. Le jho se leva, me fesant tomber et m'arrachant la pointe de dix centimètres de la poitrine. Ma vision se teinta de rouge, le gout du sang emplit ma bouche. J'allais mourir. Je ne voulai pas. Dans un dernier sursaut de volonté, je lui chargeai le visage, surpris, il ne bougea pas, je lui enfonçai mon sabre dans la bouche et d'un coup sec, je rouvris sa longue cicatrice. Malgrès la grosse gerbe de sang, la bête ne cilla pas, il me mit à terre d'un coup de tête, posa une patte sur mes jambe pour m'imobiliser et me regarda dans les yeux. Je vis qu'une balle était plantée dans un de ses yeux. Alice cria mon nom. Ce que je vis après fus flou et confu, alors que je sentai le froid me gagner pendant que le sang me quittait. Alice ruait la tête du jho de coups de crosse des gerbes de sang accompagnaient chaque impacte. La douleur au ventre était attroce. Une ombre noire passa sur la tête du jho et enfonça quelquechose dans l'œil non abimé, de grosse gerbes de sang giclérèrent sur le dos de jho. Je ne sentai plus rien, et sortis de mon corps, ce fut étrange, tout d'un coup, je vis tout ce qui se passait autour de moi.

Les félynes étaient là, il achevaient le deviljho, Shakiami lui tranchait la gorge tandis que Thug lui logeait une balle de gros calibre dans un orbite, la bête cessa immédiatement de bouger et s'éfondra au sol dans un long soupir. Alice m'ouvrait la bouche et me fit boire de la potion. Je revint dans mon corps, la douleur me prit de nouveau, comme un rouleau compresseur, je ne pouvais penser à rien d'autre. Tous mes muscles étaient contractés. Je commençai de nouveau à quitter mon corps et à oublier la douleur. Shakiami parlait avec Alice :
“ -Il est blessé ? mya ?
-Oui, il s'est entaillé le ventre, je lui ai donné une potion, mais ça n'a pas eu d'effet. Shakiami considérait ma plaie.
-Ce n'est pas beau à voir, mya. Une potion ne guérira pas ce trou. Il pris deux grosses poignées d'herbes et me bourra la plaie avec. Il reprit
-Voilà qui arrêtera l'émoragie. mya ! Il faut juste espérer qu'aucun organe ne soit atteint, la chair et les muscles peuvent de recréer, pas les organes. mya.”
Shakiami reprit deux autres poignées, et les bourra, cette fois en écrasant l'herbe. Je réintégrai mon corps en proi à une douleur encore plus terrible. Puis, plus rien, le noir.

“ -Que l'accusé entre ! Le juge Thule regardait son assemblée, le juri était constitué des quatres représentants du gouvernement, le général Sparrow, le chancelier Eliface, le capitaine Hunter et son éminance le consul Sir James. Quatres individus sans pitié, sévères et intraitables. Sparrow était arrivé à loc-lac pour y lever un régiment et fortifier la ville pour des raisons inconnues, Eliface avait pour mission d'apauvrir la guilde, organisation la plus riche et influante du monde, pour des raisons inconues, le capitaine Hunter devait quand à lui devait créer une flotte polyvalante, capable de naviguer à la fois sur sable et eau toujour pour des raisons inconnues, il devait deplus éliminer le capitaine Al'hala et son imposante flotte de drakkar et pour finir Sir James devait se rendre maître de la ville par le bien vouloir des citoyens. Ce qu'il fit par des métodes pour le moins despotiques, pour se faire aimer des habitant, il fit assassiner des citoyens puis il fit arrêter des “suspect” qui étaient toujour coupables. Il fesait torturer ses suspect, pris au hazard, jusqu'à ce qu'il acceptent de se dire coupables devant la cour de justice. Ceux qui résistaient étaient exécutés en secret, pour expliquer leur disparition, Sir James prétendait que le suspect s'était évadé ou suicidé. Pour ceux qui acceptaient, le chatiment était l'arêne ou la transformation en esclave. Thule était obligé de jouer le role de juge, sinon il serait certainement exécuté. Sir James avait également fait agrandir l'arêne puis fait en construire une autre avec l'argent qu'Eliface drainait à la guilde. Les citoyens furent d'abors heureux de voir toutes ses enquêtes mener à la capture de dizaines de criminels, ils furent aussi heureux de voir la construction d'une nouvelle arêne, Sir James fut élut. Des habitants commençèrent à remarquer que la criminalité n'a en fait pas baissée.

La guilde dénonça ouvertement les métodes de justice du gouvernement, et, c'est au grand jour que Sir James exprima les nouvelles lois de la cité. Officielement, une justice parfaite, des enquêteurs doués, jamais d'injustice, des aides aux pauvres et de plus en plus de monuments publiques utiles pour la vie et la détente des citoyens.
Officieusement, des quotas d'arrestations fixés, réquisition de tous les biens en cas d'arrestation, les esclaves maçons ne sont autre que les comdamnés à qui on a coupé la langue, la guilde est vampirisées, des milliards de zennys sont drainés. Sir James rompt finalement toutes relation avec l'état. Celui-ci ne peut rien faire car Loc-Lac est perdue au milieu du grand désert et a l'avantage maritime sur la mer de sable. Tous cela, Thule le savait. Il avait déjà envisagé de tout exposer au publique pour voir comment la population réagirait. Il regrettait l'ancienne cour de justice, maintenant, les accusés répondent aux questions par oui, et déclarent coupable, moins de cinq minutes pour un procés, l'accusé est innocent, et fini à l'arêne ou comme esclave... Quelle justice parfaite ! Le seul vrai criminel arrêté depuis l'élection était ce mélyne du nom de Shakiami, qui en plus s'était évadé il y a quelques jours. Mais la prison allait bientôt éberger un nouveau vrai criminel . Le criminel le voici. Sous les yeux de miliers de spectateurs silencieux et de quatres hommes, le dénomé Harker traversa le tribunal et s'arrêta derrière le box des accusés, ses chaines cliquetiquaient. Thule prit de nouveau la parole :
“ -Accusé, lisez la lettre d'accusation.
L'accusé se pencha sur la feuille posée devant lui et lit :
"Le tribunal citoyen de Loc-Lac accuse le dénomé Harker de piraterie sur les eaux de Moga, de piratrie sur la mer de sable et de mutiples assassina d'honnêtes officiers marins de la flotte du capitaine Hunter... La peine encourue sera au choix, la mort ou l'arêne.

Thule reprit la parole :
-Commençons par vos explois sur la mer de Moga où vous avez saboté une douzaine de navires de la flotte et par l'occasion assassiné trois officiers. Des témoins nous ont raporter vous avoir reconnu. Nous voulons entendre votre version à vous des faits avants d'entendre celle des témoin si elle diffèrent. Nous vous écoutons.
-Je suis coupable. Thule reprit.
-Quand à la mise à feu des sept navires de la flotte au port de Tarnagh qui a entrainé la mort de cinquente trois marins ?
-Je suis coupable.
-Pour finir, qu'avez vous à dire sur les assassinas des commandants Whurt, Stale et Debart ?
-Je suis coupable.
Thule savait que Sir James considèrerait cet homme comme dangereux, ses réponses “je suis coupable” ne sont que des provocations. Cet homme sait des choses... Sir James prit la parole :
-Je vois, pas besoin de témoignage, l'accusé plaide coupable. Nous pouvons donc aller délibérer. Thule reprit
-Que le juri délibère.
Les quatres hommes sortirent de la salle. Puis il s'instala un lourd silence dans toute la salle.
Il passa plus de dix minutes avant que le juri ne revienne. Ils se rassirent à leur place. Le Général Sparrow anonça :
-Le juri a délibéré, la sentance est la mort. À ces mots, l'accusé leva la tête et dit tranquilement.
-Tient, peine de mort ? Je croyais que les seules peines étaient l'arêne ou le coupage de langue puis la…
-Silence ! hurla le général Sparrow, L'accusé n'a pas la parole !
-Laissez moi terminer, Ou le coupage…
-Silence ! aboya Sir James, ceci est mon dernier avertissement
-La transformation et le coupage de langue !
-Silence ! Le capitaine Hunter se leva d'un bond.
-Pourquoi ne puis-je pas avoir les mêmes pênes que les autres ? Peut-être serais-je plus dangereux, un vrai criminel par exemple, pas un malheureux citoyen inocent choisi au…
-Trop, c'est trop ! Hurla Eliface, Gardes ! Emparez-vous de lui, conduisez-le à l'arêne !


Voilà, demaine partie 3

Chap 1 dernière partie, l'éveil des héros :

Harker était derrière la porte de l'arêne, l'adrénaline montait en lui. Dans quelques secondes la porte s'ouvrirait le livrant à un wyverne. Harker se doutait que le consul lui aurait péparé un puissant wyverne, histoire qu'il se fasse tuer à coup sur. Sir James le savait dangereux et il n'avait pas tord ! Harker était bien plus dangereux que James ne le croyait.
Un terrible hurlement couvrit les cris des spectateurs, le wyverne était lâché. Les portes commencèrent à s'ouvrir, il considéra son équipement, il portait un plastron en maille, une dague et un petit bouclier. Sa seule chance était que ses hommes aient pu entrer dans l'arêne suivant le plan prévu. La porte était ouverte, il fut éblouit alors qu'il entrait dans l'arêne. Un gros wyverne rouge ailé l'attendait à l'autre bout de l'arêne. Le monstre cracha une boule de feu, Harker du se jeter à terre pour ne pas être touché. À peine debout le monstre le chargea, il parvint à esquiver, il vit la tribune des officiels en face de lui, le signale ! Vite !
Il s'élança vers la tribune et hurla à pleins poumons “À moi hombre !” Il se jeta de nouveau au sol pour éviter une autre boule de feu. Une dizaine d'étincelles jaunes frappèrent le wyverne qui fut paralysé, il s'écroula au sol et s'immobilisa. Harker s'aprocha, planta soa dague dans chaque œil avant de trancher la gorge du monstre. Une mare de sang se forma autour de la tête de la bête dont le corps était secoué de spasmes. La foule se tut alors, une disaine d'hommes en uniforme bleu-blanc-rouge accouraient vers Harker, un fusiarbalète calibre 1 dans les bras, l'un d'eux portait un lobo de barde blanc, arrivé devant Harker il lui tendit le lobo. Harker jeta un nouveau coup d'œil sur la tribune, il y vit Sir James, debout, le regard sévère et surprit. Harker se tourna vers lui et profitant du silence, il dit en effectuant une gracieuse révérence :
-Mes homages Sir James. Il se redressa et mit son chapeau.

Les spectateurs, les officiels, l'arêne entière fut stupéfaite. Un seul nom courrait de lèvre en lèvre : Cazalla.
Sir James était pétrifié, il ne bougeait plus, ne cillait plus, ne respirait plus.
Le rathalos rompit le silence en poussant un long râle, les hommes d'Harker tirèrent de concert sur la tête rath coupant le long râle, transformant la tête en bouillit. Un homme rompit le silence :
-Capitaine Cazalla, Francisco Cazalla... Je m'en doutait... Vos quelques mots prononcés durant le procé mon mit la puce à l'oreille, malhereusement, vous n'arrivez pas à dissimuler votre accent castillan, Il ne fallut qu'une seconde à Harker pour deviner qui parlait... Charles Hunter, mais expliquez moi plutôt pourquoi vous vous étes fait passer pour un certains Harker ?
-Tu aimerais le savoir, hein amigo ! Tu crois que je vais te le dire sale chien ? He pensado que tu était sous le coup de cette intervention de l'état, no me acuerdo ! Dit-le, sí dit-le à Sir James à Sparrow ou à Eliface, dit leur que tu as l'intention de les écarter du pouvoir par ruse ou par force pour t'assurer le consula à toi seul lorsque la ville sera assez bien fortifiée, armée et lorsque tu sera assez riche, riche de l'argent de la guilde ! Comment comptait-tu éliminer Sparrow d'ailleur ? He obliedo.
-Ne l'écoutez pas ! Il ment ! Il ment ce sale chien de pirate !
-Tient ? Tu panique, ton attitude parle pour toi Hunter. Tu as oublié le jour où tu était mon second à bors du Trinidad ? Tu m'avais dit tout tes rêves, tes fantasmes et en particulier celui de gouverner Loc-Lac, de détroner ton père. Tu avais déjà tout pensé, tu comptais lui demander d'instaurer le consula à Loc-Lac sous prétexte que la criminalité y est trop haute.
-Comment a tu cru à tout ça ?! J'était saoul !
-Depuis quand le marin tutoies-t-il le capitaine ?
-Je te tutoies depuis que nous sommes amis !
-Nous ne sommes plus ami Hunter. D'ailleurs étions-nous des pirates ?

Hunter se tut un moment
-Eh bien Hunter ? On ne veut plus parler ? Respondame !
-Tu es un pirate ! Pirate depuis tes attenta sur mes navires. Je n'en suis pas un.
-Bien jugado Hunter, tu détourne mes questions... À l'époque nous étions corsaires du roi. Puis ton père suite à ta demande t'a nomé capitaine de la flotte de Loc-Lac, il t'a envoyé là-bas, comme tu le désirais, mais il a rajouté une petite mission. Serais-tu capable me dire quelle était ta petite mission ?
-De quel mission parles-tu pirate ?!
-Baisses d'un ton Hunter, je risque de ne pas aprécier ton audace. Je parle de l'assina du capitaine Abdel Al'hala, lo siento amigo mais sais-tu qu'il a survécu lui et ses trois chasseurs au crash du "Nightmare Desert", tu va donc devoir le tuer. Je crois aussi qu'il est en ville peut-être ici dans l'arêne ? Qui sait ? Peut-être meure-t-il d'envie de t'avoir sous la main pour régler ce problène ? Une voix s'éleva du publique.
-Oui, en effet j'en meure d'envie ! Al'hala, couvert de son habituel turban, descendit les gradins en direction de la tribune d'honneur. Sir James prit un porte-voix et se prépara à hurler
-Sir James, commença Cazalla, soyez raisonable, appeler des gardes reviendrait à signer leur mort, mes hommes sont de redoutables tireurs...
-GARDES !!!! une douzaine d'homme armés de piques et d'une cote de maille entra dans l'arêne, l'un d'entre eux parla :
-Pas un geste forbans ou vous étes mo...
Une balle lui fit éclater la tête.
-Lo siento, le coup est parti tout seul...
-Arrêtez-l... commença Eliface, il regarda son ventre, une tache rouge s'y élargissait, il s'écroula. Sparrow prit un pistolet, et tira. Cazalla s'écroula au sol, il avait la main sur la poitrine, un rictus lui tordait le visage.
-Vous étes mauvais tireur Sparrow... Cazalla tira. Sparrow lfut touché dans un orbite et s'écroula au sol. Les spectateurs qui se tenaient impassibles depuis le debut se levèrent et évacuèrent l'arêne en hurlant.

Al'hala retint Hunter et Sir James pendant la munute d'évacuation dans la panique. Le consul s'écria :
-Gardes, tuez-les tous ! Il y eu une pétarade, une seconde avant, onze garde avançaient vers Cazalla, une seconde après, ils étaient tous soit mort soit agonisant.
-Fransisco, on se retrouve dehors avec notre ami hunter comprit ? demanda Al'hala.
-Sí, mais avant envoyez-moi Sir James. Le chasseur de jhen poussa le consul dans l'arêne, celui-ci y atterrit brutalement dans un nuage de poussière.
-Venez hombre, on va lui montrer ce qu'est l'arêne. Cazalla envoya un pique de garde à James avant de courir vers la porte avec ses hommes, ils sortirent de l'arêne enfermant Sir James. Celui-ci les implora :
-Pitié ! Pitié ! Ouvrez-moi ! Je ferais ce que vous voudrez ! Pi...
-Silence ! Hurla Cazalla à travers la porte, vous allez voir ce que vous avez infligé à des dizaines de personnes innocentes !
Ils traversèrent un couloir pour aller vers l'animalerie, deux gardes les y attaquèrent, les deux finirent au sol, la tête éclatée. L'odeur du sang fit s'agiter les monstres. Après avoir fouillé toutes les cages, Cazalla trouva enfin ce qu'il voulait, un giginox, ce monstre ferait souffrir James de longues minutes avant de le dévorer vivant. Ils poussèrent la cage jusqu'au box de libération, Cazalla fit sauter le cadena d'un coup de revolver avant de dire :
“ Allez les gars, lâchez le pendant que je recharge mon revolver. ”

Il trouvèrent Al'hala alongé au sol dans une mare de sang à la sortie de l'arêne entouré de deux cadavres. Cazalla cria pour le réveiller, le giffla, rien, il n'était pourtant pas mort, Fransisco vétifia les battement de son cœur et sa respiration, tout allais bien, on l'avait donc assomé, il s'était déffendu et avait tué deux hommes. Cazalla demanda a deux hommes de prendre le capitaine puis ordonna aux autres de rester sur leurs gardes, il sortit son revolver, prèt à toute évantualité. Il n'y avait personne dans les rues.

Une lueure illuminait le sud de loc, ce n'était pas le soleil, qui brillait au dessus de leurs têtes, à son zenith. Une troupe de soldats leur barra la route, ils braquèrent leurs mousquets sur la petite troupe de Cazalla. Cazalla reconnu des soldats d'élite à leur armure en aliage au galon rouge. Les soldats d'élite de Loc-Lac étaient, non sans raison, réputés de redoutables tireurs, leur sens de la discipline et leur courage était célèbre dans le monde entier. L'un des soldats, certainement le sergent, les prévenut :
“ Au nom de la courone, rendez ou vous serez abatus, pirates !”
Il faudrait donc se battre... Ça n'allait pas être facile... Il glissa quelques mots aux porteurs d'Al'hala :
“ Mettez-vous à couvert et restez prudents, je ne voudrai pas qu'Abdel soit blessé. ”
Puis il dit à l'intention du sergent :
“ Je n'aime pas que l'on se mette en travers de mon chemin, les enfants de votre genre, je les balaie d'un coup de main. ”
À ces mots, Cazalla dégaina son revolver, et se plaça derière le couvert superficiel d'un tonneau d'une roulade. Il fut bientôt imité par ses hommes, puis par les soldats. C'était la principale différence entre les fantassin "infanterie" et les troupes d'élites, là ou des fantassins seraient restés en ligne, les troupes de choc exploitaient leur environement, les couverts et ripostaient par un tire soigneusement ajusté. Malgrès leur talents de tireurs, ces soldats étaient bêtes et inimaginatif, preuve d'un manque d'expérience, ils s'étaient acroupis ou cachés derrière un tas de caisse au bors, ils ne pensaient pas qu'ils pouvaient être touchés par un tir à travers une caisse, ils n'avaient pas compris non-plus qu'il pouvaient l'avoir en tirant à travers le tonneau. Des minables, après tout, n'étaient-ils pas les hommes de Hunter ? Sur les douzes soldats, Cazalla en abatit trois, ses homme firent le reste sans subir de retour.
Ils rentrèrent au domicile d'Al'hala sans autres incidents.

Abdel était revenu à lui quelques minutes après la fusillade, il avait longuement discuté avec Cazalla des mesures à prendres contre Hunter. Un des marin d'Al'hala était alors arrivé en catastrophe au domicile de son capitaine lui demandant de le suivre, il était complètement paniqué. Le capitaine était revenu quelques minutes plus tards, complétement enragé, il hurlait que Hunter avait mit le feu à sa flotte avant de quitter Loc-Lac avec le "Jhen hunter" le colossale drakkar amiral des tigres du desert, le nom de l'organisation de chasseurs de jhen dont le capitaine Al'hala était le chef. La flotte des tigres comptait cent trente navires, sur ces cent trente navires, cent vingt-sept avaient été incendiés. Il y avait eu plus de quarente morts parmi les entreteneurs des drakkars. Cazalla se doutait que cet incendit était à la foi une façon pour Hunter de s'aquiter incomplètement de sa mission et de se vanger de lui. Al'hala parti presque imédiatement à bors de l'un des drakkar non incendié à la poursuite de Hunter.
Le soir, les gens commençaient à resortir. Cazalla sorti faire un tour, en ayant enlever son chapeau et se colla une fausse barbe pour que l'on ne le reconnaisse pas. Dans un comtoire poissonier, il rencontra un commerçant originaire de Port Noir, sa ville natale et port de sa flotte, alla aux nouvelles et ce qu'il apprit le troubla.
Celon les dires du commerçant, le royaume de Sarron, situé au nord du grand desert, se préparait à une attaque maritime ainsi que terrestre sur la consulerie de Stalgrad. Le roi avait fait lever et entrer en maneuvre des régiment. La flotte royale avait également été déployée au large de Port Noir, le principal port de la consulerie et seconde ville par la richesse et les habitants.
Le vieux commerçant lui apprit aussi que la flotte du mistrale, sa flotte corsaire, avait refusé de rejoindre les rang de la flotte royale, il grimaça, son second était retord, il profitait de son absence pour de la flotte ce qu'il voulait.

Il remercia le vieux commerçant et lui acheta un sushipoisson pour le diner. Il sortit du comtoire et fit le tour du port, cette nuit, il s'emparerai d'un navire et rentrera en vitesse à Port Noir. L'idée que Port Noir puisse être attaquée par ces chiens de Sarronais le dégoutait. Deplus, ni le roi Nicolas de la consulerie de Stalgrad ni son général principal, Vladimir Olianov, n'avaient jamais connu la guerre. L'amiral de la flotte maritime, un homme hautain et incompétant dénomé Louis Sanson avait connu la guerre, les vielles guerres qu'avait mené la consulerie contre les tribus de Chogoris vivants dans les stèpes du nord de la chaine des dieux, mais son age actuel ne lui permettait plus de commander correctement. Le gouvernement militaire actuel était donc composé d'un roi dont la seule préocupation était d'amuser sa cour, d'un amirale imcompétant en raison de son age, et d'un général bon qu'a piloter des aeroplanes. S'ajoutait à ça un sous-effectif d'infanterie dut à une mauvaise gestion de l'armée. La flotte de combat du desert venait d'être incendiée... La consulerie était perdue. Cazalla comprit alors le véritable visage de Hunter, il était simplement un traître au service du roi Franke II de Sarron, il avait persuadé son propre père de faire de Loc-Lac un consula surveillé simplement pour pouvoir mettre hors combat la seule chose qui bloquait le passage de troupe à travers le desert jusqu'à Stalgrad, les tigres du desert, la flotte d'Abdel Al'hala. Hunter c'était servi du despotisme de Sir James, des talents financiers du chancelier Eliface et de la poigne de fer de Sparrow pour mettre le grappin sur Loc-Lac, il lui suffisait ensuite d'éliminer ses "aliers politiques" et de mener à bien sa mission secrète, non pas ordonnée par Nicolas, mais par Franke. Ah le chien !
Cazalla repera alors un navire fesant l'affaire, il s'agissait d'un drakkar courrier, petit navire extèmement rapide. Un seul garde surveillait le bâteau, aucun problème !

Cazalla s'empara du navire sans emcombre, le garde était en train de dormir. Il coupa la corde d'amarage et espéra que ce drakkar se dirigerait d'une façon semblable aux navires marins. Il devait vite rentrer à Port Noir.



Quelque part, au large de Port Noir, sur un énorme navire de combat, un homme toca à une porte. Une voix faiblarde l'intima d'entrer, l'homme s'executa. Il entra dans une vaste salle occupée par un riche mobilier, il s'approcha d'un homme ridé, couché dans un lit, tout tremblant, l'homme lui dit :
“ -Les feux des navires Sarronais ont apparus à l'horison, le vent est à leur avantage, ils sont plus nombreux, au moins trois cent selon l'aéroplane de reconnaissance. Il tout interré à nous attaquer de nuit, nos soldats sont fatigués de deux semaine de qui-vive jour et nuit, la formation de combat n'est pas tennue, les canons ne sont pas armés et il nous est impossible de nous mettre en route à temps à cause du vent qui s'est levé. Si ils attendent le jour pour attaquer, le vent aura certainement tourné et nos hommes seront moins fatigués. Quels sont vos ordres ?
Le vieil amiral toussa, s'éclairsit bruyament la voix et dit :
-Envoyez l'aéroplane à Port Noir avec l'ordre d'attrendre le retour de Cazalla, de lui demander de nous rejoindre avec la flotte du mistral.
Il y eut un silence. L'amiral reprit :
-La Lune est-elle visible ?
-Non mon amiral, le vent à charié une importante masse nuageuse.
-Parfait ! Éteignez toutes les lanternes des navires, nous allons à leur rencontre, l'attaque surprise ne viendra pas d'eux. ”
L'homme prit congé et à peine fut-il sortit de la cabine qu'il hurlait déjà les ordres.

Chapitre 2 : Le dirigeable




Le grand consul Nicolas se tenait impassible sur son trone. Il avait chaud sous son épaix manteau de guerre. Le manteau de guerre des grands consuls avait été brodé à l'origine pour les défilés militaires, mais la magestée du costume avait convaincu Nicolas d'en faire sa tenue de guerre. Le manteau de guerre était à la fois une importante relique de la consulerie et un inestimable trésor, le manteau entier était constitué de plaque de rathalos, wyverne emblème de la consulerie, doublé interieurement de soie, de fines broderies d'or zigzagaient entre les plaques, dessinant l'emblème de l'armée de Stalgrad, deux rathalos se battant pour une épée. Parmi les légendes de la consulerie, il en était une qui entrait dans le panthéon des plus connues, elle comtait l'histoire d'Escadora, le plus grand héro connu du continent sud.
Escadora menait une vie sans misérable, dans un village qui, sans le savoir, deviendrait Stalgrad, il était orphelin et mendiait sur la place du village pour revoir de quoi vivre. Il subsistait difficilement sous les crachats et injures odieuses à son sujet, jusqu'au jour où au détour d'une sombre et étroite ruelle, il rencontra une jolie jeune fille. La fille était presque nue et allongée au sol, elle sanglotait. Escadora pensait qu'elle avait été violée et entreprit de la consoler, il lui prit délicatement une main puis l'adossa doucement au mur. Il la contempla un instant, elle avait les cheveux roux, bouclés et assez long, un joli petit nez, une bouche aux lèvres sensuelles et pulpeuses, des sourcils noirs. Il remarqua avec horreur que la jeune fille avait les yeux entièrement blancs, comme si ils n'avaient pas de pupille. Il décida d'ignorer ce détail et demanda :
“ Comment vous appelez-vous ?
Une voix raillé, démoniaque, pernicieuse lui répondit.
-Je suis l'Oracle.

La voix qui lui glaça le sang, LA FILLE NE BOUGEAIT MÊME PAS LES LÈVRES LORSQU'ELLE PARLAIT ! Il se sentit chanceler, la voix reprit :
-Tu es Escadora n'est-ce pas ?
Il répondit d'une voix tramblante, il était terrifié.
-Oui, c'est moi.
-Parfait, je te trouve enfin, héro du mal.
La voix semblait sortir directement due la poitrine de la fille, il voulait fuir, mais la curiosité le poussait à répondre.
-Qu... Qu... Quoi ?
La voix l'ingnora et continua.
-Écoute bien ce que je vais te dire jeune héro.
-Oui.
-Le jour de ton vingtième anniversaire, tu verra deux ombres voler vers le Col, poursuit-les, lorsqu'ils se poseront, affronte les par tous les moyens, mais n'en tue qu'un. L'autre sera ton destrier, ton guide, ton partenaire. Avec ton destrier et ta lame, rends-toi au sommet du Titan, j'y serais, là se dessinera ce qui de la vie ou de la mort t'attends.
-Pourquoi moi ?!
Les yeux de la fille devinrent verts.
Pourquoi ?! Réponds moi ! POURQUOI ?!!
La fille toussa, puis lui lança hargneusement :
“ Sale pouriture ! Qu'est que tu là ?! Retourne jouer les paillassons ailleurs, je suis pas une pute !”
Depuis ce jour, toutes les personnes qu'ils rencontrait devenaient encore plus hargneuses et leurs yeux devenaient blancs.
Escadora s'enfuit dans les montagnes et n'en sortit plus.
Arriva enfin le jour de son vingtième anniversaire, il vit les deux ombres et les poursuivit. Il arriva à l'endroit où elles s'étaient posées et ce qu'il vit lui resta dans la mémoire :
Deux rathalos se battaient devant une épée plantée dans le sol. Il se souvint des paroles du démon : “Affronte les”
Il arracha l'épée du sol et avide de relever le défit lancé par le démon il massacra les deux rath avec toute la haine qu'il pouvait contenir.
Le Titan était un énorme volcan situé au centre de la chaine des dieux, avide d'en découdre avec le démon, il s'y rendit et une fois au sommet il hurla :
“ Viens là connard, voir ce qui se produit lorsque l'on me défi !! ”

La seule réponse fut la dernière chose qu'il vit de sa vie, un énorme dragon pourpre le précipitant dans un lac de lave.
Tel était la légende d'Escadora le solitaire. Nicolas ne portait aucune attention à cette légende même si, chaque année, des miliers d'hommes se ruaient sur le Titan à la recherche de l'épée d'Escadora. Son manteau lui pesait lourd sur les épaules. Il n'écoutait plus depuis longtemps son général qui récapitulait la situation des armée. sa seule envie était de dormir, putains de Sarronais, n'auraient-ils pas pu attendre la fin de son règne pour attaquer ? La guerre était quelque chose defatigant, il n'avait pas envit de la supporter.





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Ne me demandez pas à quoi sert le résumé de la légende d'Escadora , vous le verez dans quelque temps...

Alice tenait fermement son fusilarbalète, une mains soutenait le cadre tandis que l'autre tenait la crosse, callée dans le creux du coude, l'index sur la gachette, la première bête qui ferait mine d'être agressive serait calmée d'une volée de balles de calibre moyen.
Elle se tenait à l'affut, plus loins, Shakiami pansait les plaies de son ami, elle, debout sur le cadavre du deviljho, elle observait de son œil de sniper la savane environante à l'affut d'une cible.
Thug avait été envoyé chercher de l'aide pour déplacer Jules et la carcasse du jho -et la valeur inestimable qu'elle représentait- un quart d'heure plus tôt.
Un jaggi attira son attention, il s'aprochait d'eux, son comportement n'était pas agressif, mais la mani des jaggis d'appeler toute leur meute au moindre geste détermina la mort du petit jaggi, Alice estimait qu'aucun risque ne devait être prit, elle plaça son viseur entre les deux yeux du jaggi et pressa la gachette, la corde se détendit, le percuteur fit exploser la charge et la balle partit en sifflant pointant le front de l'insouciant jaggi qui observait les environs. Le crâne du wyverne éclata dans une grande effusion de sang, répandant une quantité modeste de matière rosâtre, reflet du maigre intelect des jaggi. Un Hurlement perçant lui transperça les typants, elle regarda autour d'elle puis leva instinctivement les yeux au ciel. Elle jura, une rathian décrivait le grands cercles autours d'eux à basse altitude. Elle avait déjà chassé le rath, mais avec Gael et Rémi -Jules n'avait pas encore rejoint leur groupe-. Elle tourna la tête vers Shakiami pour lui annocer la nouvelle, mais il était déjà debout, des lames d'os au tranchant renforcé de métal d'où suintait un épaix liquide violet, il suivait la bête verte des yeux dans le ciel, et dit :
“ Protègez Jules en maintenant la rathiane à distance avec votre fusil, je m'occupe d'elle.”
Alice accepta, elle n'avait d'autre choix que de faire confiance à un félyne qui avait tué un jho.

Les muscles tendus, l'œil attentif, elle était prète à défendre le peu de chose qu'il lui restait, son ami et sa vie.
La rathian décrivait des cercles de plus en plus bas, puis elle fini par se stabiliser à une quizaine de mètres de haut, elle s'éloigna de sa proie puis fit brutalement demi tour et fonça de nouveau vers eux.
Une détonation retenti au loins puis une explosion de lumière éclipsa le soleil durant quelques secondes, la rathiane éblouie s'écrasa au sol, se brisant une aile. La bète était recouvertes de blessures, d'impacts et d'une énorme blessure qui lui recouvrait le torse. Un homme fonça sur la rathiane en hurlant : “Vengeance !”
L'homme en armure de mailles dégaina un couteau mortelle et le planta allègrement dans le ventre de la rathian qui se débatait au sol. L'homme finit par se jeter sur le cou de la rath et lui trancha la gorge. La bète ouvrit la bouche pour hurler mais aucun son n'en sortit. Une pétarade retentit, le haut du crane de la rathian sauta, révélant aux yeux dégoutés d'Alice son cerveau gris. L'homme planta alors son épée dans le cerveau et secoua frénétiquement le manche de l'arme. La rathiane cessa immédiatement de bouger.
Thug arriva alors, l'air grave. Il dit :
“ Je n'ai trouvé que cet homme dans Golgotham... Il désigna le vilage au loins, Le troisième jho à tous massacré là bas...
L'homme prit la parole :
-Le jho est arrivé et à tout massacré, je suis le seul épargné. Il est parti après avoir tout dévasté.
Alice lui demanda :
-Qui eétes-vous ?
-Je m'appelle Fabian. Je suis né orphelin du père, puis ma mère est morte quelques années plus tard de maladie. Je n'ai pas de nom de famille. Et vous qui étes vous ?
-Alice, je viens de Vanghisse.
Shakiami les intima de se taire, il dit tout bas :
-Chut ! J'entends quelque chose... d'étrange. ”
Puis un bruit d'élice retenti clairement. Un dirigeable aux dimensions cyclopéennes s'arreta au dessus de leurs têtes.